Organiser un concours

Pour l’image de marque d’une publication, un concours où les participants sont tirés au sort pour gagner un – ou plusieurs – lots, est une valeur sûre. C’est un moyen radicalement efficace pour augmenter ou créer un fichier et pour fidéliser vos lecteurs. Souvent utilisé par les publications à fort tirage, des publications plus modestes peuvent bénéficier d’un concours bien organisé.

Trouver des partenaires

Avant de lancer votre concours, il faut définir vos objectifs. Seulement pour le « fun » ? Pour étoffer votre fichier de prospects ? Pour augmenter les ventes d’un numéro traditionnellement plus faible que les autres ?

Une fois que vous avez clairement défini vos objectifs, il est temps de définir le (ou les) prix qui seront gagnés par les participants. En général, les prix sont assortis aux intérêts des lecteurs : un voyage pour les revues d’évasion, des ballons ou des survêtements pour une revue sportive… Pour assurer les lots, ce n’est pas la peine de casser la tirelire, car vous pouvez établir des partenariats avec des sociétés en échangeant de la marchandise (les lots) contre de la publicité.

Modes de participation

Maintenant que vos avez les lots, vous pouvez mettre en place votre communication autour du concours. Un concours sur un site web vous permettra de récolter de nombreuses adresses e-mail. Dans les colonnes de votre publication ce dernier peut vous apporter des lecteurs potentiels. Pour un fichier plus large, vous pouvez opter pour une documentation indépendante de la revue, ce qui permet une distribution massive (lors d’un salon, par exemple).

Les obligations légales

Avant le lancement de votre concours, il faut passer par un huissier de justice afin d’établir un règlement. Comme toute prestation, les huissiers ont des honoraires différents. Vous donc pouvez demander un devis. Le règlement, plus ou moins détaillé selon la complexité du concours et la quantité de lots, est à déposer chez l’huissier.

Sur le bulletin du concours, vous devez noter les coordonnées du huissier et/ou celles des personnes à contacter pour recevoir un extrait du règlement. Il faut noter que :
– les personnes qui renvoient leur bon de participation par courrier ont le droit de demander un remboursement de leur timbre (au tarif en vigueur),
– le concours est ouvert à tous,
– vous ne pouvez pas obliger les personnes à acheter un produit pour participer au concours.

Veuillez consulter votre huissier pour l’ensemble des obligations légales. Elles ne sont pas nombreuses, mais il faut les respecter.

Le tirage des gagnants

A la clôture du concours, vous pouvez envoyer les listes des participants que vous avez établie à votre huissier de justice afin de tirer les gagnants. Ces listes peuvent être de bons de papier, ou, plus souvent, des listes électroniques (tableaux Excel). Quand les gagnants sont tirés, prévoyez toujours de faire tirer quelques personnes en plus, dans l’éventualité que les gagnants ne soient pas joignables ou disponibles. Selon l’importance du lot, vous pouvez joindre les gagnants par téléphone, par lettre recommandée ou par courrier suivi.

Après le tirage

A cette étape, il est temps de faire le bilan. Vous pouvez rentrer vos nouvelles adresses dans la bases de données, remercier vos partenaires en leur donnant un bilan concret de l’action menée (votre logo à été imprimé sur 150 000 documents), et faire un petit bilan dans les colonnes de votre publication (une photo de la remise du grand prix, par exemple). Comme chaque opération de marketing, un concours peut être aussi grand ou petit que vous le souhaitez, tout dépend de votre temps et de votre imagination.

Solaris Conseil apporte aux éditeurs un réel savoir-faire dans le marketing opérationnel de la presse écrite. Pour voir comment nous pouvons vous aider à augmenter votre chiffre d’affaires tout en réduisant vos coûts, veuillez consulter nos compétences.

Améliorer l’efficacité de vos mailings

Optimiser vos mailings

Que vous ayez un budget de 100 euros ou de 100 000 euros, un mailing est un investissement important de temps et d’énergie. Avec quelques efforts supplémentaires, vous pouvez réduire le coût de vos mailings (les rendant ainsi souvent plus rentables), éliminer un maximum de gâchis (sauvons les arbres !) et rendre vos mailing plus efficaces.

Nettoyez votre fichier

Il est souvent utile, avant de lancer la fabrication finale de vos éléments de mailing (bulletins, lettres, enveloppes, etc.) de vérifier que vous avez un fichier « propre ». Prenez de temps de faire, ou de faire faire, une vérification de vos adresses. De nombreuses manipulations d’adresses sont possibles. Le strict minimum est d’enlever les adresses en double ou les adresses incomplètes.

Pour les fichiers anciens (plus d’un an), vous pouvez à faire une mise en forme par un prestataire de La Poste. Ils peuvent vous trouver presque toutes les personnes ayant déménagé, afin de livrer votre message à la bonne (nouvelle) adresse, vous évitant ainsi des NPAI inutiles. Remises aux normes, ces adresses seront aussi plus rapidement routées par La Poste.

Un nettoyage de fichier efficace peut réduire des pertes inutiles de l’ordre de 5 à 20 %. C’est autant d’enveloppes, de lettres, de bulletins et de frais de poste économisés. Pour un mailing de 100, ceci n’est pas réellement significatif, mais pour 100 000… !

Bien concevoir vos documents

Avant de vous lancer dans votre mailing, il est souvent très utile de bien étudier les mailings qui ont été fait dans le passé. Quel message à été le pus efficace ? Le moins ? D’autres facteurs à examiner sont la date de l’envoi, le cadeau utilisé, la présence ou l’absence d’une enveloppe T ou d’un échantillon… Un telle analyse vous permet de concevoir votre mailing en mettant le maximum d’atouts de votre côté. Vous pouvez également faire des « mini-mailings » à quelques échantillons de votre base, et tester ainsi différents documents (vive l’impression numérique !), pour trouver le plus efficace.

La logistique du mailing

Le fichier est prêt, les documents finalisés… L’heure est venue pour la mise sous pli et le routage. Là encore, un peu d’effort peut s’avérer très utile pour réduire le coûts de vos mailings. Dans la mesure du possible, essayez de trouver un imprimeur et un routeur qui sont à proximité l’un de l’autre. Car ce n’est pas la peine de demander à un prestataire de serrer les prix, si c’est pour ensuite dépenser vos gains en transportant vos documents à travers la France !

Ainsi, beaucoup d’imprimeurs ont développé leur activité en s’associant avec des routeurs. Bien que parfois un peu plus chère au départ, cette solution est parfois nettement plus efficace à long terme, car elle réduit sensiblement le travail du donneur d’ordre (moins de devis à faire, moins d’interlocuteurs, plus de souplesse…). Cette solution est aussi souvent la meilleure pour les mailings à faire en urgence, car une bonne collaboration entre les deux sous-traitants permet un exécution plus rapide du travail.

Les frais de poste

Parfois la dépense la plus importante du mailing, les frais de poste ne sont guère négligeables. Pensez à regrouper vos mailings afin d’avoir au moins 1000 plis pour bénéficier des prix préférentiels. Pour vos mailings à l’étranger, vous pouvez consulter les postes étrangères, qui ont quasiment toutes des délégations en France. Pour des expéditions européennes ou mondiales, leurs tarifs sont souvent bien inférieurs à ceux de La Poste Française. Pour un envoi ciblé vers une zone très précise, des solutions de portage existent. Toutefois, cette solution n’est souvent rentable qu’avec des mailings à répétition. En conclusion, il est évident que chaque étape d’un mailing offre des occasions d’amélioration. Surtout, essayez de vous donner le temps nécessaire pour exécuter le mailing !

Solaris Conseil apporte aux éditeurs un réel savoir-faire dans le marketing opérationnel de la presse écrite. Pour voir comment nous pouvons vous aider à augmenter votre chiffre d’affaires tout en réduisant vos coûts, veuillez consulter nos compétences.

La Tribune rebondit sur la grève

Face à la grève qui empêche les quotidiens d’être en kiosque le 12 juin, La Tribune a rebondi afin de proposer un libre accès à la revue sur son site, soit en format pdf soit en format html en fonction du goût des lecteurs. Une initiative qui permet aux lecteurs de contourner les lacunes de la diffusion en kiosque, et qui permet aux journalistes de diffuser leurs articles malgré cette « prise d’otage » des prestataires de diffusion…

Reste à voir si cette solution sera adoptée par les autres quotidiens concernés par la grève (Le Monde, Le Parisien…), ainsi que les résultats sur la fréquentation du site de La Tribune.

Comment gérer ensemble les abonnements aux périodiques

Descriptif :Après l’édition en 2005 du vade-mecum « Comment gérer ensemble les abonnements aux périodiques » et l’édition en 2007 du vade-mecum « Des abonnements papier aux abonnements électroniques », le groupe de travail s’est réuni à nouveau pour réaliser une synthèse de ces deux documents, en intégrant les évolutions juridiques, économiques et technologiques. Le groupe a traité à la fois la problématique des abonnements papier et celle, plus spécifique, des abonnements numériques au cœur des préoccupations des professionnels. (Descriptif repris de l’introduction du Vade-Mecum).

Auteur : Une collaboration entre l’ADBS, l’ADBU, la FNPS , le GFII et le SNIEL.

Tarif : Gratuit

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Augmenter ses abonnements – le sondage exclusif (part 2)

Comment augmenter ses abonnements payants ?

Les réponses sont dans un sondage exclusif,  mené par Solaris Conseil !

2ème volet : le recrutement des abonnements

Bien que toutes les méthodes de marketing direct soient utilisées par les éditeurs de presse, les méthodes utilisées change selon la taille ou le type d’éditeur. Le sondage a également démontré que malgré la richesse d’outils disponible, l’inspiration pour l’utilisation de ceux-ci reste assez limitée.

Le marketing au service des éditeurs
De multiples questions du sondage de Solaris Conseil portent sur l’acquisition des nouveaux abonnements. Nous avons voulu savoir où les éditeurs trouvaient leurs idées marketing (les sources d’inspiration) et quelles méthodes étaient utilisées pour le recrutement.

Les éditeurs qui ont répondu au sondage recrutent leurs abonnés en utilisant 15 méthodes de marketing différentes, depuis le bulletin d’abonnement classique (encarts) au SMS, en passant par le télémarketing et les abonnements gratuits temporaires.

La méthode de recrutement la plus classique, le bon vieux bulletin d’abonnement, est aussi celle qui est le plus souvent utilisée : 78 % des éditeurs s’en servent. Les 12 % d’éditeurs qui n’utilisent pas cette méthode éditent généralement des titres de presse professionnelle avec un prix d’abonnement très élevé. Pour la plupart, il s’agit de Newsletters professionnelles qui évitent d’intégrer un bulletin par principe : place à l’information uniquement.

En ce qui concerne l’inspiration marketing des éditeurs, les salons ne figurent pas haut sur la liste des sources (voir encadré ci-contre). Cependant, ils en sont très friands pour essayer de recruter des nouveaux abonnés. Avec un taux d’utilisation de 64 %, les salons sont un outil autant exploité que les mailings de marketing direct, également à 64 %.

L’analyse des réponses démontre que le manque de participation aux salons et l’absence de mailings de recrutement sont deux critères plus souvent déterminés par la taille de la publication que par le type de publication. Les grands absents des salons sont les éditeurs à fort tirage (à partir de 50 000 abonnés, qui remplacent l’animation des salons avec des concours), et les éditeurs qui boudent les mailings ont généralement des petits tirages (moins de 5000 abonnés).

L’inspiration des éditeursA la question « D’où « piochez » vous vos idées de recrutement d’abonnement ? » une grande majorité des éditeurs (70 %) disent utiliser leurs ressources internes. Cette compétence « maison » ne les empêchent nullement d’aller s’inspirer très largement par ce qui se fait ailleurs (60 %) ! Par contre, la presse marketing (13 %) ainsi que les salons professionnels et les autres évènements sont très peu exploités (6 %).Inspiration marketing. Expérience 70 %, en regardant les autres 60 %, conseils extérieurs 20 %, la presse spécialisée 13 %, salons & congrès 6 %. Le marketing des éditeurs de presse

La présence de sites web d’éditeur ne cesse d’augmenter, mais les maisons d’édition qui exploitent le web sont encore minoritaires, avec un de taux d’utilisation assez faible (44 %). Ce sondage fait ressortir que les éditeurs de la presse professionnelle (64 %) qui ont atteint une certaine taille (au moins 10 000 abonnés) exploitent largement plus le recrutent des abonnements via le web (autant avec leur propre site qu’en utilisant les sites web des autres) que la presse grand public (36 %). Suivant la logique, seuls les éditeurs qui se servent du web exploitent également l’e-marketing.

En ce qui concerne le recrutement par voie d’abonnement gratuit temporaire (utilisé à 35 %), la presse grand public et la presse pro s’en servent de la même façon. De plus, aucune différence ne peut être discerner selon la taille de la publication ou le prix de l’abonnement. Le choix de l’utilisation de cet outil est donc uniquement en fonction de la « politique marketing » de l’éditeur (nous trouvons ce même phénomène avec le télémarketing, l’utilisation de la publicité chez les confrères et les opérations avec les regroupeurs d’abonnements).

Chaque maison d’édition utilise en moyenne quatre méthodes distinctes pour recruter ses abonnements. Les nouvelles technologies restent toujours minoritaires en terme de quantité d’éditeurs qui s’en servent, mais leur utilisation globale dépassent maintenant celle de nombreuses méthodes plus classiques.

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Augmenter ses abonnements – le sondage exclusif (part 1)

Comment augmenter ses abonnements payants ?

Les réponses sont dans un sondage exclusif, mené par Solaris Conseil !

Résumé
Une multitude de statistiques existent concernant la vente et la diffusion de la presse écrite. Mais à ce jour, peu d’études ont été menées pour analyser l’efficacité des différentes actions marketing sur le recrutement d’abonnements et l’effet des choix de gestion sur le renouvellement des abonnements.

Pour palier à cette lacune, Solaris Conseil à mener un sondage au près de 400 éditeurs. Plus de 50 % des éditeurs ont répondu lors des deux vagues du sondage, réalisés en février 2005 et en juin 2005.

Méthodologie
Des e-mails personnalisés ont été envoyés à 400 éditeurs. Quatre personnes ont reçu l’e-mail chez chaque éditeur : les directeurs ou responsables de la publication, de la rédaction, du marketing, des abonnements, de la diffusion et parfois de la publicité. L’e-mail a guidé l’éditeur vers un site web, ou il était invité à fournir un mot de passe (présent dans le message d’origine), pour répondre au sondage en ligne.

Ce sondage comprend 43 questions dont la plupart sont à choix multiple. Elles abordent cinq grands thèmes : la publication, le recrutement des abonnements, la fidélité des clients, la gestion des abonnés et l’opinion que l’éditeur porte sur ces derniers.

Suite à des « bugs » chez le fournisseur d’accès, des difficultés de connexion ont été constatées. Ce problème à été résolu en changeant de prestataire. Les réponses analysées sont uniquement celles des éditeurs ayant répondus à l’ensemble du questionnaire.

Le profile des éditeurs qui ont répondu
Les éditeurs ayant répondu au sondage se regroupent en deux catégories distinctes. La première est celle de la presse professionnelle ou technique (49 % des éditeurs). Les 51 % restant font partie de la presse grand public : information générale, spécialisée ou PQR/PQN. La population de la presse « pro » est très homogène. En générale, c’est le directeur ou la directrice de la publication qui a répondu (36 % des répondants). Leur publication a généralement un portefeuille de moins de 5000 abonnés (47 %) et le prix de l’abonnement annuel moyen se situ dans la fourchette de 51 à 200 € (56 %).

FONCTIONS : Direction 36 %, Rédaction 15 %, Marketing 13 %, Abonnements 11 %, Diffusion 10 %, Autre (chef de produit, comptable) 9 %, Publicité 6 %.
La population répondant pour la presse grand public est nettement moins homogène, non seulement dans la fonction des personnes ayant répondu (les directeurs de marketing, de diffusion, des abonnements ou autre) mais aussi dans le nombre d’abonnés (depuis 5 001 à plus de 200 000). Nous pouvons cependant noter que les fonctions de rédaction ont répondu à égalité sur les deux populations (presse grand public et presse pro.).

TYPE DE PRESSE : Professionnelle et/ou technique 49 %, Grand public (info. générale) 22 %, Grand public (spécialisée) 22 % , PHR 5 %, PQN 3 %. Réponse sondage - type de publication

En ce qui concerne le prix de l’abonnement moyen, il faut souligner que 16 % des éditeurs qui ont répondu ont des abonnements qui dépassent le coût moyen annuel de 200 €. Ce chiffre élevé s’explique par la forte repré-sentation de la presse professionnelle (en générale plus onéreuse à l’abonnement que la presse grand public), et par la motivation de l’éditeur. Un éditeur avec des abonnements à prix élevé est plus susceptible de s’intéresser à un sondage sur les abonnements.

La PQN et la PQR ont très peu répondu au sondage (8 %).

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Sommaire du Guide Augmenter vos Abonnements – Le Renouvellement (Vol. 3)

A quoi bon de recruter un abonnement si vous le perdez lors du renouvellement ? Ce livre vous permet de mettre toutes les chances de votre côté ! Il vous offre des idées pour optimiser les relances d’abonnement, des suggestions pour instaurer et développer un programme de fidélisation, des recettes pour rattraper les abonnements perdus, et les actions à effectuer quand plus rien ne fonctionne.

Sommaire

Avant-Propos – 5

Chapitre 10 – Créer la bonne relance d’abonnement – 9
Les différents cas de figure et l’optimisation des messages
Définir les argumentaires
Analyser et comprendre les motifs de non-renouvellement
Faut-il offrir un cadeau lors du réabonnement ?
L’utilisation des remises
Les différents canaux de relance à exploiter
Les relances par e-mail : messages, retours et périodicité
Les relances par SMS : intégration, public visé et logistique
Les relances papier : bien définir la quantité et la périodicité
Optimiser la relance
Cas éditeur – Une relance de renouvellement annuelle

Chapitre 11 – Fidéliser son portefeuille – 45
La mise en place d’un programme de fidélité
Offrir un contenu rédactionnel exclusif
Opinion d’expert – Quand l’âme de la région se trouve dans sa presse
Les alertes d’information
Organiser des jeux concours
Accorder des remises sur d’autres produits
Offrir des cadeaux
Proposer des invitations
Fournir un espace blog ou des forums sur le site de l’éditeur
Opinion d’expert – Les blogs ou quand les lecteurs cherchent à s’exprimer
Attribuer des points (ou cartes) de fidélité
Mettre en place un numéro de téléphone spécial pour les abonnés
Trouver des services originaux
La communication administrative au service de la fidélisation
Opinion d’expert – Quand 20 000 passionnés se donnent rendez-vous sur le web

Chapitre 12 – Que faire quand plus rien ne fonctionne – 81
Le mailing « cimetière »
Identifier les motifs irrécupérables, peu récupérables et récupérables
Identifier les annulations : passives ou actives
Enrichir et faire vivre le fichier sans attendre les campagnes de réabonnement
Rattraper les abonnements perdus
Choisir la méthode de recrutement sur abonnements échus
Allier l’e-mailing aux relances papiers et téléphoniques
Identifier les attentes des lecteurs
La remise en question
Les audits de gestion
Pour remonter la pente …

Chapitre 13 – Fidélisation et renouvellement : les chiffres – 101
Un sondage par e-mail
La communication des éditeurs avec leurs abonnés
Les motivations à la création du n° « Azur »
L’utilisation du n° « Azur » par les lecteurs
L’existence d’un programme de fidélité
Les enquêtes lecteurs
Les motifs de non-renouvellement
Les relances
Le taux de renouvellement des portefeuilles presse
L’évolution du portefeuille d’abonnements en fonction du type de presse
Le comportement des éditeurs en fonction de l’évolution de leur portefeuille

Chapitre 14 – La parole aux éditeurs – 123
Un engagement de diffusion
Une responsabilité rédactionnelle
Le rôle pédagogique de la presse professionnelle
Le client avant tout
La bonne recette ?

Annexe 8  – Les salons pour trouver l’inspiration – 129

Annexe 9 – Adresses utiles – 137

Lexique    – 147

Lire l’Avant-Propos

Acheter le Volume 3 – Le Renouvellement

Acheter le Guide Complet (les trois volumes)

Sommaire du Guide Augmenter vos Abonnements – La Gestion (Vol. 2)

Une gestion en interne ? Sur quel logiciel ? Sous-traiter ses abonnements à un prestataire de fulfilment ? Comment choisir entre les différentes sociétés ? Définir et gérer ses abonnements électroniques et les publications dématérialisées. Car l’augmentation d’un portefeuille passe forcément par une optimisation de la gestion…
158 pages, 99 € TTC. ISBN 2-9525124-1-8

Sommaire

Avant-Propos – 5

Chapitre 6 – Choisir son mode de gestion : interne ou externe ? – 9
Les enjeux d’une bonne gestion
L’harmonisation des bases de données
La gestion en interne
Créer son propre logiciel
Cas éditeur : La création d’un logiciel sur mesure
Les logiciels de gestion d’adresse
Les logiciels spécifiques à l’abonnement
Tableau comparatif des logiciels de gestion
Opinion d’expert : Une gestion « light »
Sous-traiter la gestion de son portefeuille
Les questions à poser avant de choisir « son » prestataire
La gestion mixte
Quiz pour trouver le mode de gestion idéal

Chapitre 7 – Définir son abonnement électronique – 43    
Faut-il intégrer ses articles dans des fonds documentaires ?
Les différents types d’abonnements électroniques
Déterminer le prix d’un abonnement électronique
Aller au-delà de l’offre papier
Cas éditeur : L’offre électronique ne s’arrête pas au web !
Définir le format de son abonnement électronique
L’abonnement e-mail avec texte intégré
Définir le temps de lecture
L’abonnement e-mail avec envoi d’un fichier PDF
Opinion d’expert : Contrôler, suivre et analyser la vie d’un fichier PDF
L’abonnement e-mail avec texte sur le site
L’abonnement à une publication électronique
L’abonnement en ligne
Les droits d’auteur

Chapitre 8 – Gérer les abonnements électroniques – 75      
Gérer les adresses électroniques
Gestion via messagerie (sans progiciel d’abonnement)
Gestion via messagerie (avec un logiciel d’abonnement)
Gestion sur un logiciel de routage d’e-mail
Gestion via un routeur d’e-mailing
Gestion de l’e-mail avec un logiciel de CRM ou d’abonnement
Gérer son contenu en  ligne
L’organisation d’une base de données rédactionnelle
Développer sa gestion de contenu en interne
La gestion de contenu développé par une SSII
Utiliser un programme de gestion existant
Gestion de l’abonnement avec contenu en ligne
Faire vivre son site web
Suivre ses abonnés pour mieux les connaître
Les logiciels de tracking
Pas encore prêt ? Prévoir la suite….

Chapitre 9 – Radiographie d’une gestion – 101   
Un sondage par e-mail
Le profil des éditeurs qui ont répondu
L’externalisation des prestations en fonction de la masse salariale
Recours à la sous-traitance en fonction de la publication
Recours à la sous-traitance en fonction de la quantité d’abonnements
Evolution du portefeuille d’abonnements en fonction de son mode de gestion
Le renouvellement des abonnements en fonction du mode de gestion
Le comportement des éditeurs en fonction de l’évolution de leur portefeuille

Annexe 3  – Les agences de fulfilment        

Annexe 4 – Les logiciels d’abonnement        

Annexe 5 – La réexploitation des œuvres journalistiques        

Annexe 6– Les droits d’auteur et des journalistes        

Annexe 7 – Exemple de clause de cession de droits d’auteur        

Lexique    – 158

Lire l’avant propos

Commander le Volume 2 – La Gestion

Commander le Guide Complet (les trois volumes)

Toutes les transactions PayPal sont soumises au Règlement sur le respect de la vie privée de PayPal. Respect de la vie privée PayPal

 

11 conseils pour réussir vos documents

Graphiline

De la conception à la production d’un document, voici 11 conseils et pistes à explorer pour réussir un document imprimé.

Par Antoine Gaillard, rédacteur en chef Graphiline

1. Prévoir toutes les précautions indispensables

Anti virus, sauvegarde régulière, etc. Une grosse erreur est si vite arrivée…

2. Une « belle » publication

Partez d’images irréprochables, et numérisez les avec un scanner digne de ce nom. N’hésitez pas à faire appel à des professionnels pour les photos et le scanner, les résultats seront incomparables.

Préférez partir d’un original de type ekta ou photo plutôt que d’un document déjà imprimé, vous éviterez ainsi les problèmes de numérisation avec trame.

La qualité du papier donne l’âme à la publication. Ne le négligez pas. Un bon professionnel peut vous montrer des centaines d’échantillons, voire même vous réaliser une maquette en blanc (c’est à dire avec du papier non imprimé).

Un document imprimé en 2 couleurs par exemple sur un papier spécial peut avoir un impact qualitatif meilleur qu’un document quadrichromique sur un simple couché moderne brillant.

3. BAT

C’est l’abréviation donnée au Bon à Tirer, pratique qui consiste pour le client à venir vérifier le travail chez le prestataire.

Cette étape est obligatoire : après signature, le client engage sa seule responsabilité sur le contenu du document. Il suffira de le préciser à votre imprimeur. Elle seule permet de garantir 100% de satisfaction au client. De plus, c’est un moyen convivial pour découvrir qui est vraiment l’imprimeur et « sentir » sa façon de travailler.

4. Support informatique

Il va servir à transmettre votre fichier au photograveur. Ces supports sont très variés : SYQUEST, ZIP, JAZ, CD-ROM, cassette DAT, magnéto-optique, voire disque dur, etc. Votre photograveur ne possède probablement pas tous les lecteurs du marché. L’interroger sur le sujet et ne pas oublier de faire une sauvegarde avant de lui transmettre vos fichiers « finaux ».

5. Transmettre tous les « fichiers polices » utilisés

Les polices manquantes seront substituées et occasionneront des décalages dans les textes, voire leur disparition. Ce problème est lié aux différentes versions existantes, pour les polices portant le même nom.

Les polices peuvent aussi occasionner des difficultés lors d’un passage entre différentes plates-formes Mac/Windows et vice versa. Une solution universelle encore marginale est de préparer un fichier PDF…

6. Joindre une sortie imprimée

Celle-ci servira pour contrôler vos films et vos épreuves.

7. Épreuves de contrôle

Selon leur type (et leur prix), elles seront plus ou moins fidèles au tirage. Préférez une solution à partir des films si vous n’utilisez pas de CtP, cela vous assure la reproduction fidèle aussi bien en défonce qu’en chromie de votre document.

La meilleure fidélité est obtenue avec des épreuves de type Cromalin (Attention, Cromalin est une marque dont le nom s’est généralisé, mais d’autres marques donnent des résultats semblables voire meilleurs : Agfaproof, Rainbow, etc.).

D’autres solutions dites numériques telles que les imprimantes à sublimation produisent un résultat très proche de la réalité. Dans tous les cas, une interprétation est nécessaire entre l’épreuve et le tirage.

Cette épreuve de contrôle vous permet d’abord de contrôler votre document avent de lancer l’impression et permet au conducteur de presse de régler la pression des couleurs pour obtenir un rendu aussi proche que votre épreuve : c’est un étalon de référence.

8. Joindre un chemin de fer

Celui-ci décrit le contenu de chaque page, et permettra à votre photograveur puis à votre imprimeur de positionner les pages dans l’ordre. S’il est équipé, cela permettra même à votre photograveur de réaliser des films imposés, ce qui réduira vos coûts de calage d’impression et vous garantira une meilleure qualité.

9. Brillance

Un document dont la couverture est brillante fait toujours bonne impression. Pensez donc au vernis, voire au pelliculage si votre ouvrage doit être solide. Mieux, la combinaison de vernis et de pelliculage permet de faire ressortir certaines images ou logos en conjuguant aspect mat et brillant. Un must !

10. Reliure

De la reliure de votre ouvrage va dépendre l’image de vos publications. Ainsi, certaines donneront un aspect « léger », d’autres un aspect « sérieux ». Certaines résisteront au temps quoi qu’il advienne (reliure de type « dos carré cousu ») et d’autres non. Votre imprimeur est à même de vous éclairer.

11. Conditionnement

C’est la première chose que le client va voir en recevant le produit. Ce n’est pas un concept nouveau, mais le packaging est important. Aussi, demandez des solutions fiables et correspondant aux caractéristiques du produit et de sa distribution (routage, palette,…)

Ces astuces viennent de M. Antoine Gaillard, rédacteur en chef de GraphiLine, le quotidien des arts graphiques.

Solaris Conseil apporte aux éditeurs un réel savoir-faire dans le marketing opérationnel de la presse écrite. Pour voir comment nous pouvons vous aider à augmenter votre chiffre d’affaires tout en réduisant vos coûts, veuillez consulter nos compétences.

Augmenter ses abonnements – le sondage exclusif (part 4)

Comment augmenter ses abonnements payants ?

Les réponses sont dans un sondage exclusif, mené par Solaris Conseil !

Suite du sondage :  la gestion des « abos ».

Une fois recrutés, (qu’ils soient fidélisés ou non !), les abonnements doivent être gérés au quotidien.

En tout, 16 des 43 questions du sondage (37 %) visaient à en savoir plus sur les méthodes de gestion. L’anonymat du sondage aidant, les réponses étaient franches, donnant des informations intéressantes concernant la sous-traitance de la gestion, les raisons de perte et les taux de renouvellement des abonnements.

Pour la gestion courante de leurs abonnements, 32 % des éditeurs interrogés font appel à des prestataires de gestion externe. Ces agences de « fulfillment » arrivent donc en 4ème position des prestataires clés, après les imprimeurs, les routeurs et les agences de diffusion.

La presse grand public compte pour deux tiers des éditeurs qui sous-traitent la gestion courante de leurs abonnés. Selon les réponses, la presse professionnelle sous-traiterait cette gestion a partir d’une « masse critique » de 10 000 abonnements.

Les éditeurs qui sous-traitent les abonnements semblent suivre d’avantage l’état de leurs abonnements. Par exemple, 87 % déclarent analyser régulièrement leur taux de réabonnement, contre 68 % des éditeurs ayant une gestion « maison ». Ceci dit, l’analyse du taux de renouvellement fait partie de la prestation des agences de fulfillment, et lors du sondage les éditeurs en question étaient souvent incapables de fournir leur taux de réabonnement de manière spontanée (réponse « Je ne sais pas »). Les informations sont donc là, mais pas nécessairement exploitées.

Abonnement raison d'être

A la question ouverte « Quel est, pour vous, la responsabilité d’un éditeur vis-à-vis de ses abonnés ? » les réponses étaient riches et indiquaient clairement la passion des éditeurs pour leurs publications.

Cependant, moins de la moitié (45 %) des éditeurs sont tout à fait d’accord avec la déclaration : « les abonnés sont la raison d’être d’une publication » et étonnamment 20 % sont peu ou pas du tout d’accord avec cette phrase !

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